22 novembre 2013
La poésie du vendredi...
Je connais un océan charmeur
dont les vagues
telles des mains
caressent mon corps
parfois violemment
quand la tempête gronde,
quand mon corps t'attend,
souvent tendrement
quand le vent se calme
quand mon corps te retrouve.
Les vagues se sont tues,
elles ont laissé sur mon corps
une empreinte salée d'amour,
des effluves de bonheur pour toujours
un instant de paix retrouvée.
Twarga
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